Sillages: 2015
La Coruña-Portosin: (17 Mars - 2 Avril 2015)
Le 17 Mars 2015 nous quittions le port de La Coruña. La météo étant enfin clémente, c’est sans
problème que nous avons fait le trajet vers le port de Camarinas. Malheureusement le vent du
nord étant très inconfortable et la météo annonçait un renforcement du vent pour les jours à
venir. Le 19 Mars, nous décidions donc de nous rendre au port de Muxia distant de seulement 2
miles nautiques. Ce port était désert mais offrait un très bon abri et cela nous a été très utile
car le vent a soufflé à plus de 47 Nœuds (90 km/h). Le personnel de la marine était très
attentionné à notre égard et venaient aussi vérifier les amarres. Nous quittions le 26 mars
Muxia pour Portosin où nous allions finaliser l’installation du groupe électrogène. Ce jour-là, il
faisait pluvieux et brumeux mais un bon vent d’ouest nous a permis de faire un sacré bout à la
voile avec des pointes à plus de 8 nœuds. En cours de route, nous avons rencontrés un large banc
de plus de 50 dauphins qui a traversé notre sillage ainsi qu’au loin une réplique de la Niña, le
bateau de Christophe Colomb, qui naviguait au moteur. La majorité du temps, nous apercevions la
côte rocheuse Espagnole dans la brume.
problème que nous avons fait le trajet vers le port de Camarinas. Malheureusement le vent du
nord étant très inconfortable et la météo annonçait un renforcement du vent pour les jours à
venir. Le 19 Mars, nous décidions donc de nous rendre au port de Muxia distant de seulement 2
miles nautiques. Ce port était désert mais offrait un très bon abri et cela nous a été très utile
car le vent a soufflé à plus de 47 Nœuds (90 km/h). Le personnel de la marine était très
attentionné à notre égard et venaient aussi vérifier les amarres. Nous quittions le 26 mars
Muxia pour Portosin où nous allions finaliser l’installation du groupe électrogène. Ce jour-là, il
faisait pluvieux et brumeux mais un bon vent d’ouest nous a permis de faire un sacré bout à la
voile avec des pointes à plus de 8 nœuds. En cours de route, nous avons rencontrés un large banc
de plus de 50 dauphins qui a traversé notre sillage ainsi qu’au loin une réplique de la Niña, le
bateau de Christophe Colomb, qui naviguait au moteur. La majorité du temps, nous apercevions la
côte rocheuse Espagnole dans la brume.
